Activités communes | Territoire rétrofit et imaginaire des techniques

11 octobre 2021

Chaque année, les étudiant.es en deuxième année de Master Urbanisme et Aménagement participent à deux sessions d'Activités Communes, avec pour objectif d’acquérir des compétences professionnelles dépassant le seul champ de l'urbanisme.
Innovation pédagogique, les Activités communes sont transversales aux parcours : les étudiant.es de Master 2 y travaillent ensemble par petits groupes, formés non pas en fonction de leur spécialité, mais en fonction du thème de l'activité choisie.

Activités Communes 2021-2022 - Session 1

La première session des Activités Communes 2021-2022 a eu lieu lors de la première semaine de rentrée, du 27 septembre au 1er octobre 2021.
Les étudiant.es ont pu choisir entre 12 activités singulières : 
1. Atelier d'écriture - L'écriture des lieux | 2. URBAX - International Version | 3. Atelier URBAX - Version Bourg Structurant | 4. Corps urbains : Échelle du corps / Échelle de la ville | 5. Mémoire(s) controversée(s) – Le bois de Vincennes | 6. Le tour du Grand Paris - urbanisme comparé en région parisienne | 7. Le son, un outil pluriel pour raconter la ville | 8. Territoire Rétrofit et imaginaire des techniques | 9. Dessine-moi des "Rues aux écoles" | 10. La gestion de l'eau en ville | 11. La ville cyclo-ferrée | 12. De l'approche du genre à l'approche des genres
→ Télécharger le programme 2021 des Activités Communes - Session 1 (pdf).

Territoire rétrofit et imaginaire des techniques

Enseignant référent : Arnaud Passalacqua (historien, ingénieur, professeur à l'EUP, coresponsable du parcours de Master 2 TM - Transport et Mobilité, membre du Lab'Urba)

Les étudiant.es et encadrant.es de l'Activité commune "Territoire rétrofit et imaginaire des techniques" ont cette année choisi de partager et publier leurs productions.

"A la lumière des défis environnementaux, sociaux, culturels, mais aussi  face à l'épuisement des ressources pétrolières et devant l'urgence climatique, comment concevoir la transformation/ transition des territoires ? Le low tech ou basse-technologie apparaît comme une solution pour penser la résilience des territoires. "En tant que concept fondée sur des ressources territoriales locales, la ré-invention des solutions anciennes et la participation du plus grand nombre aux choix techniques". Le low tech existe alors davantage sur le plan sociétal, que par opposition à la high tech. A l'échelle des territoires, la notion de retrofit, comme "réemploi d'objets déjà existants en les adaptant à partir de solutions techniques plus simples, plus locales et plus conviviales" doit permettre d'enclencher des dynamiques nouvelles autant sur la question de la conception que sur la gouvernance des territoires."

Six capsules vidéo-sonores ont ainsi été produites dans le cadre de l'activité, intriquant urbanisme, rétrofit, imaginaire, low-tech et innovation.